Aller au contenu

Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/390

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

est attaqué en sortant de Trévise par le chevalier Bayard, et mis en fuite en laissant plusieurs des siens prisonniers, XV, 292.

Malte (le grand-maître de l’ordre de) envoie au collége de Sorbonne des reliques de sainte Euphémie, XLVIII, 29.

Maltois (le père), jacobin, soutient des thèses dans un chapitre général de son ordre, avec grande louange sur sa doctrine et son savoir, XLIX, 207. Sujet de ces thèses, 209.

Malvedy ou Malmedy, savant médecin, entreprend avec succés la cure des malades pendant la peste de Paris, XLV, 201. Se coupe la gorge à cause des dettes dont il est accablé, 274.

Manant (le livre du), écrit fait par un des Seize, est grandement recherché, XLVI, 539. Poursuites faites contre les imprimeurs de ce livre, 541. Le Roi prend un grand plaisir à le lire, 552.

Mandelot (Franç. de), gouvern. du Lyonnais, se rend maître des villes de La Rivoire et d’Andance, XXXIV, 329. Menace en vain la ville de Bonlieu, 330.

Mandemens, præcepta ou mandata, espèces de jugemens rendus par les parlemens, lesquels ordonnoient aux juges inférieurs d’observer dans leurs assises et d’y publier les ordonnances faites au parlement, III, 65.

Mandreville (le président), de Rouen, est pendu après la prise de cette ville par le duc de Guise, XXXIII, 213 ; XXXIV, 162.

Manége, l’art de bien manier un cheval, pratiqué de tout temps par les Romains et par les Grecs, qui inventèrent les courses de chevaux, III, 165. Les Français s’y distinguèrent aussi, 166.

Manègre, lieuten. du gouverneur de la ville de Verdun, se montre disposé à exécuter sur l’évêque de Valence le meurtre projeté par le secrétaire de l’évêque de Verdun, XXXVIII, 43. Comment il essaie d’y parvenir, 44. Il amène l’évêque à Verdun, 47.

Manes (Théaude), capit., part de Guise pour aller au secours du capit. Bedaigne, surpris par les Impériaux, XIX, 443.

Manfredini, fils de Mainfroy, meurt prisonnier dans le château de l’Œuf, II, 142.

Mangonneaux, instrumens de guerre ; leur description, I, 146.

Mangot, premier président du parlement de Bordeaux, est nommé secrétaire du Roi par le crédit du maréchal d’Ancre, L, 344. Est nommé garde des sceaux, 360.

Mansfeld (Ernest, comte de), commandant de Luxembourg avec le comte Piguelin, rend cette place aux Impériaux sans la défendre, XIX, 376. (Mém. de Du Bellay.) — Commandant la place d’Ivoy, il est forcé de la rendre à Henri II, XXVI, 457. Est conduit prisonnier à Vincennes, 460. (Vieilleville.) XXXI, 104 et suiv. — Sauve l’avant-garde de l’armée protestante près de La Haye, en Touraine, XXXIII, 477. (Castelnau.)

Mansfeld (le comte Charles de) soumet Bergues au pouvoir des Espagnols, XL, 13. Essaie de recouvrer Breda ; prend Sevemberg, dont il passe la garnison au fil de l’épée, 141. Est obligé d’en sortir ; taille en pièces une partie de la garnison de Breda, 142. Ravitaille Nimègue, 144. Entre en France ; assiége et prend Noyon après une grande perte, XLI, 264. Se rend maître de La Capelle, XLII, 238. Va au secours de la ville de Laon, 241. Se retire en Artois, où son armée est ruinée par les maladies, 244. Est envoyé à Vienne et créé prince de l’Empire, XLIII, 148. Passe le Danube à la tête d’une armée ; assiége Gran, 153. Emporte le fort de S.-Thomas, 154 ; et celui de Cocheren, 159. Bat les troupes du bacha de Bade, 160. Est battu à son tour, 161. Remporte une grande victoire, 163. Livre un assaut général à la ville de Gran, 164. Tombe malade et meurt à Ko-