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Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/391

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morre, 165. (Mém. de Cayet.) — Amène des secours au duc de Mayenne, XLVI, 350. (L’Estoile.)

Mansfeld (le comte de) vient en Alsace, d’où il est attiré en France par le duc de Bouillon, L, 543. S’approche de Mouson ; pourquoi il se retire et va au secours de Bergues, 544.

Mansourah, ville d’Égypte, appelée la Massoure par les Latins ; sa description, III, 23.

Mantes (déclaration de) : les cardinaux, archevêques, évêques, abbés et autres ecclésiastiques du parti du Roi assemblés à Mantes font un décret qui déclare nulles et injustes les bulles monitoriales du pape Grégoire XIV, XLVI, 171.

Mantillou, gouverneur espagnol de Porto-Ercole, est fait prisonnier par les gens de Bl. de Montluc près de Montalcin, XXI, 372.

Mantoue (Rodolphe, seign. de), oncle du marquis de ce nom, est tué à la bataille de Fornoue, XIII, 137.

Mantoue (Frédéric de Gonzague, marq. de), mène du secours au roi Ferdinand, qui rassemble son armée à Bénévent, XIV, 313. (Mém. de Villeneuve.) — Abandonne le parti du Roi pour s’attacher au Pape, qui le fait capitaine général de l’Église, XVI, 314. (Fleurange.) XVII, 345.

Mantoue (le duc de), beau-frère de la Reine, vient à Paris, et est logé au Louvre, XLVIII, 170.

Manuel, fils de Théodore Lascaris, se soumet à Vatace, I, 480.

Manuel Comnène, frère de Théodore d’Épire, épouse la fille de Jean Asan, I, 486. Se ligue avec son frère contre le roi bulgare ; est vaincu avec lui et s’échappe dans la mêlée, 487. Gagne Thessalonique ; s’empare du pouvoir ; prend le titre de despote, et se réconcilie avec le roi Jean ; fléchit Grégoire IX, qui l’avoit excommunié, et le reconnoît comme son seigneur temporel, 488. Est détrôné par son frère Théodore, et livré au sultan d’Atalie, qui a pitié de lui ; va trouver Vatace ; reçoit de ce prince quelques domaines ; se réconcilie ensuite avec Théodore, et tourne ses armes contre son bienfaiteur, 495.

Manuel Paléologue, empereur de Constantinople, demande des secours au roi de France, VI, 479. Accueil qu’il fait à Boucicaut, 485. Part avec lui, et va ravager les terres de Turquie, 486. Assiége le château de Rivedroict, 489. Se réconcilie avec son neveu par l’entremise du maréchal, 495. Part avec lui pour se rendre en France, 496. S’arrête à Venise, 499. Arrive à Paris, y demande du secours au Roi ; va dans les autres cours de l’Europe faire la même demande, 500.

Marais (le sieur Du) est blessé à l’attaque du Pont-de-Cé, et meurt quelques jours après, L, 485.

Marcel, héraut d’armes, par un faux avis empêche qu’une trève soit conclue avec les Sarrasins, II, 111. (Tabl. du règ. de S. Louis.) — Comment il est cause de la rupture des négociations, et des malheurs qui en furent la suite, 279. (Joinville.)

Marcel (Ét.), prevôt des marchands de la ville de Paris, dirige les factieux ; son caractère, IV, 134. Lève tout-à-fait le masque, 135. Fait massacrer en présence du Dauphin les maréchaux de Champagne et de Normandie, 136. Veut livrer Paris à Charles-le-Mauvais, 137. Est massacré lui-même au moment de l’exécution de son projet, 138. Détails historiques sur sa mort donnés par M. Naudet, 139.

Marchand, bourgeois de Paris, prête sa maison aux réunions des royalistes, XX, 259.

Marchant (le capit.) meurt de douleur en apprenant la mort de Henri IV, L, 101.

Marchant (le pont) est achevé en 1608 ; il tire son nom de son constructeur, XLVIII, 203.

Marche (Roger de) prend la croix, I, 104.

Marche (le comte de La) s’unit aux chefs de bandes qui vont en Espagne, IV, 326. Fait célébrer à Bur-