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Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/40

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nitiens son fils unique Philippe ; obtient de Paléologue une trève d’un an, 507. S’embarque précipitamment en apprenant l’entrée des Grecs dans Constantinople, 509. Recommence ses voyages, et fatigue en vain de ses plaintes les cours de l’Europe, 512.

Baudouin d’Ebelin, sénéchal de Chypre, est envoyé de la part des prisonniers chrétiens auprès du Roi pour connoître le traité qui vient d’être conclu avec le Souldan, II, 289. Est mis dans une galère avec d’autres seigneurs pour être conduit à Damiette, 292.

Baudouin de Rheims débarque sur le rivage d’Égypte avec 1,000 chevaliers, et va se placer à côté de Joinville, II, 217.

Baudouin d’Ennequin, grand-maître des arbalétriers de France, indique au conseil tenu à Rouen la route qu’il faut prendre pour aller à la rencontre des Anglais et des Navarrois, IV, 254. Se distingue à la bataille de Cocherel, 268. Y est tué, 269.

Baudouin (le sire), bâtard de Bourgogne, joûte au mariage du duc de ce nom, X, 354. (Mém. de La Marche.) — Abandonne le service de Charles-le-Téméraire, et passe à celui du Roi, XII, 8. (Mém. de Comines.)

Baudricourt (messire Robert de), commandant de Vaucouleurs, se moque d’abord de la demande que lui fait Jeanne d’Arc de l’envoyer au Roi, VIII, 151. Se décide ensuite à la faire partir, lui donne deux gentilshommes pour l’accompagner, 152. (Mém. concern. la Puc. d’Orl.) — Accueille fort mal Jean Lapart, oncle de la Pucelle, et lui recommande de la reconduire chez ses parens ; admet avec peine en sa présence la Pucelle elle-même ; reste incertain sur ce qu’elle lui dit, 246. Veut la revoir ; se rend avec le curé auprès d’elle ; écrit au Roi, 248. Fait prêter serment à tous ceux qui sont chargés de l’escorter qu’ils la conduiront saine et sauve auprès du Roi ; ses paroles en prenant congé d’elle, 255. (Supplém.)

Baune (le comte de La) est tué à la reprise de Montélimart sur les catholiques, XXXVIII, 344.

Baupré, gentilhomme de Berri, accompagné de 5 autres bien montés, attaque le seigneur d’Aumont, le blesse, et tue le seigneur de Bouchemont ; il est décapité en effigie avec ses compagnons ; vers faits sur sa figure, XLV, 189.

Bauves (M. de), fils unique de M. Duplessis-Mornay, est tué dans une rencontre aux Pays-Bas, XLVII, 504.

Bauvoisin (le capitaine de) est tué au combat d’Aire, XIV, 90.

Bavalan (Jean de), commandant du château de l’Hermine, reçoit l’ordre de Montfort de jeter Clisson dans la mer pendant la nuit ; comment il se refuse à cet ordre, VI, 210.

Baveux (Guillaume Le) assiste le duc d’Anjou au siége de Tarascon, IV, 460. Se distingue au siége de Bressières, V, 106.

Bayard (Pierre Du Terrail, dit le chevalier), se distingue en Italie par les plus beaux faits d’armes ; défend seul un pont contre un détachement considérable de l’armée de Gonzalve, XV, 62. Est blessé près de Gaston à la prise de Bresse ; sauve la vie et l’honneur d’une mère et de ses deux filles, 114. (Tabl. du règ. de Louis XII.) — Ses aïeux morts en combattant ; son père blessé à la bataille de Guinegaste ; noms de son père et de sa mère, 148. Réponse qu’il fait à son père, qui lui demande quel étal il veut embrasser, 149. Sur l’avis de l’évêque de Grenoble, beau-frère du père de Bayard, il est envoyé à l’âge de 15 ans auprès du duc de Savoie pour être un de ses pages, 152. Son adresse et son assurance en montant à cheval, 153. Reçoit la bénédiction de son père et les instructions de sa mère avec une petite bourse, 154. Se met en route pour Chambéry avec son oncle l’évêque, 156. Se présente devant le duc, monté sur