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son cheval ; est admis au rang de ses pages, et confié à la garde d’un écuyer, 158. Se fait aimer de tous, et surtout du duc, 159. Accompagne ce prince à Lyon, 160. Se fait remarquer du seigneur de Ligny, fils du connétable de S.-Paul, 161. Ce seigneur parle de lui au Roi, 164. Bayard paroît devant Charles viii, qui le demande au duc, 166. Il est confié au seigneur de Ligny, reste trois ans dans sa maison ; à l’âge de 17 ans est mis dans sa compagnie, et fut toujours un de ses gentilshommes, 167. Touche aux écus du chevalier Claude de Vauldray, se proposant de joûter avec lui, 168. Obtient pour cela la permission du Roi, 170. Va trouver son oncle l’abbé d’Esnay pour lui demander de quoi s’équiper ; comment il en est reçu, 171. Le seigneur de Bellabre, qui l’accompagne, détermine l’abbé à donner cent écus pour acheter deux chevaux, 172. Bayard et Bellabre prennent congé de l’abbé, 173. Vont de sa part chez un nommé Laurencin, auquel ils prennent pour 7 à 800 francs de drap, d’or, d’argent, etc., 170. Comment l’abbé d’Esnay mande trop tard à Laurencin quelle somme il entend donner pour l’habillement de Bayard, 176. Le chevalier achète deux chevaux, et se prépare à la joûte, 178. Se fait admirer des dames de Lyon, et mérite les éloges du Roi, 181. Est envoyé en Picardie par le seigneur de Ligny ; présens qu’il reçoit du Roi et de ce seigneur, 183. Arrive à Aire ; comment il y est reçu par les chevaliers de la garnison, 186. Accepte la proposition du chevalier Tardieu, 187. Fait crier un tournoi pour l’honneur des dames ; prix proposés, 188. Détails sur ce tournoi, où le bon chevalier se distingue entre tous les autres, 190. Sa courtoisie envers les dames, 191. Reprise du tournoi ; le chevalier Bayard abat le chevalier Hanotin de Sucker, gagne lui-même les prix qu’il a proposés, 194. En délivre un au seigneur de Bellabre, et un autre au capitaine David l’Écossais ; comment il se conduit pendant deux ans qu’il reste à Aire, 195. A deux chevaux tués sous lui à la bataille de Fornoue ; reçoit 500 écus du Roi, et lui présente un enseigne pris sur l’ennemi, 197. Se rend à Carignan chez madame Blanche, où il rencontre la dame de Fluxas, pour laquelle il avoit éprouvé à la cour de Savoie les plus tendres sentimens, 204. Doux accueil qu’il en reçoit ; d’après son désir, fait annoncer un tournoi, 205. Quel prix il propose, 206. Rompt plusieurs lances, est déclaré vainqueur ; remet le prix à madame de Fluxas, pour qu’elle le donne au chevalier qui a le mieux joûté après lui, 207. Conserve toute sa vie un tendre souvenir pour cette dame, lui écrit souvent, 208. Leurs adieux ; sa reconnoissance pour l’écuyer qui l’avoit servi chez le duc de Savoie, 209. Conseille à ses compagnons d’armes d’aller attaquer 300 chevaux qui sont dans Binaz. Marche avec 50 hommes d’armes ; détails sur le combat qui se livre devant Binaz, 211. Les Lombards sont mis en fuite, et entrent dans Milan ; le bon chevalier les y poursuit tout seul, est fait prisonnier par J. B. Cazache, 212. Est présenté à Ludovic Sforce, qui est rentré dans Milan, 213. Son entrevue avec ce prince ; obtient sa délivrance, la remise de son cheval et de ses armes ; est reconduit à son camp par un trompette, 215. Rend compte au seigneur de Ligny de ce qui s’est passé, 216. Noble usage qu’il fait de la vaisselle que lui remet ce seigneur, 222. Défait dans un combat singulier Hyacinthe Simonetta, parent du chancelier de Milan, 233. Sort à la tête de 30 chevaliers. Rencontre le capitaine Alonse Solomayor ; détails sur le combat qui se livre entre les Français et les Espagnols, 228. Fait prisonnier don Alonse ; sa conduite généreuse envers lui, 230. Le renferme dans une tour pour s’être enfui contre sa parole ; le délivre ensuite moyennant rançon ; distribue