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Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/411

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tées, 273. Ne pouvant plus rester à Paris, il en sort furtivement avec sa famille, laissant la duchesse de Nemours sa mère et la duchesse de Montpensier sa sœur, 275. (Introd.) — Ses exploits ; il est plus heureux et plus habile sous les rois qu’il sert, que lorsqu’il commande aux guerres civiles, XXV, 341. (Gasp. de Tavannes.) — Prend par composition la ville de Brouage ; est attaqué près de Ponts par le prince de Condé, XXXV, 162. Va dans la Saintonge, menace S.-Jean et s’achemine à Villebois, 217. Assiége Montignac, qu’il prend par capitulation, 220. S’empare de toutes les petites places de la vicomté de Turenne, mais ne peut prendre la maison de Montfort, appartenant au vicomte, 221. Passe la Garonne auprès de Souillac, 222. Assiége et prend Ste.-Baseille, 223. Va assiéger Montségur ; se rend à Bordeaux, dont il cherche à s’assurer, 224. (Mém. de Bouillon.) — S’empare de Dijon et de son château, 316. Envoie à Beaune le baron de Brouillars demander que le sieur de Tavannes soit chassé de la ville, et que lui-même y soit reçu avec ses troupes ; réponse généreuse des habitans, 320. Blesse près de Montargis le baron d’Aune, XXXVI, 98. (Guill. de Tavannes.) — À la nouvelle de la mort de son frère, entre en Bourgogne, se saisit de la citadelle de Châlons, se rend maître de Dijon, 125. Traverse la Champagne ; fait lever le siége d’Orléans ; entre à Paris, 128. Lève une armée ; prend Étampes, Vendôme et Château-du-Loir ; vient assiéger le Roi à Tours, 135. Quitte ce siége et reprend le chemin de Paris, 136. Après la bataille d’Ivry, il séjourne à S.-Denis, et de là va en Flandre chercher quelques secours, 153. Rejette les propositions d’accommodement que viennent lui faire le cardinal de Gondi et l’archevêque de Lyon ; hauteur avec laquelle il est traité par le duc de Parme, 178. Trompe le cardinal de Gondi et Duplessis-Mornay par l’espoir d’un accommodement, 181. Assiége Château-Thierry et le prend par composition, 193. Se retire à Reims ; envoie le président Jeannin demander de l’argent et des hommes en Espagne, 194. Essaie inutilement d’assiéger Mantes, 198, et de faire lever le siége de Noyon, 199. Vient à Paris ; y fait pendre quatre de la faction des Seize qui ont étranglé le président Brisson ; défend sous peine de mort au conseil des Seize de se rassembler, 202. Réuni au duc de Parme, il marche au secours de Rouen, assiége Neufchâtel, s’en rend maître par composition, 206. Ses efforts pour traverser les projets de son neveu le duc de Guise, et faire élire roi le duc de Nemours son frère utérin, 213. Se rend à Paris pour s’opposer aux résolutions que ceux du parlement et de l’hôtel-de-ville veulent prendre pour traiter de la paix avec le Roi, 219. Comment il est reçu au parlement et à l’hôtel-de-ville, 220. Donne le gouvernement de l’Île de France au sieur de Rosne ; fait brûler publiquement l’arrêt du parlement séant à Châlons, qui défend la tenue des États du royaume, 222. Fait une déclaration contre le Roi, et la fait enregistrer au parlement de Paris, 225. Signe une trève avec le Roi, 242. Actes des États de la Ligue publiés en son nom pour la réception entière du concile de Trente, et pour la défense et conservation de la religion catholique, apostolique et romaine, 244. Hésite à accepter les propositions avantageuses que le Roi lui fait faire, 250. Engage M. de Belin à lui remettre le gouvernement de Paris, 256. Son discours au parlement à l’occasion de cette remise, 157. Écrit au roi d’Espagne pour le prier de venir à son secours, 266. Envoie à Henri IV solliciter quelque accord, 268. Va à Bruxelles chercher des secours ; se porte avec toutes ses forces du côté de la Bourgogne, 282. Se soumet au Roi ; conditions avantageuses qu’il en obtient, 298. (Mém. de Cheverny.)