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Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/412

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Il va à la tête de l’armée royale déloger les huguenots de Montignac, Beaulieu et Gaillac, XXXVIII, 271. Assiége Castels, que le comte de Gurson rend par composition, 296. Dresse une embuscade au roi de Navarre, 297. Manque de le prendre, 298. Se rend maître de Ste.-Baseille, de Montségur, de Castillon et de Puy-Normand, 299. Va à Paris pour représenter au Roi que la conférence de Cognac est contraire à son édit et à l’accord passé à Nemours, 310. À la nouvelle de la mort du duc de Guise, il part de Lyon, s’assure de la citadelle de Châlons, tient sous sa puissance presque toute la Bourgogne, XXXIX, 12. Promet aux Seize de se rendre incontinent à Paris, 13. Envoie pouvoir et commission aux sieurs de Rosne et de S.-Paul de commander dans les provinces de Champagne et de Brie, 14. Est reçu à Troyes avec tous les honneurs imaginables ; s’assure de Sens, 15. Entre dans Chartres, qui se range sous son obéissance, 48. Y fait jurer l’édit d’union, 50. Se rend à Paris ; se fait créer chef du conseil des Quarante ; y ajoute quinze conseillers nouveaux ; leurs noms, 51. Fait décider que les présidens, avocats et procureurs généraux du parlement, les évêques du parti de l’Union, les députés des trois ordres des provinces, y auront voix délibérative, 52. Reçoit le titre de lieutenant général de l’État royal et couronne de France, 53. Fait avec le conseil général un réglement pour toutes les villes du parti de l’Union ; le fait publier au parlement ; texte de ce réglement, 54. Se rend dans la Beauce à la tête de son armée, 108. Défait le comte de Brienne auprès d’Amboise ; s’empare du château de S.-Ouen, 126. Desseins qu’il forme sur la ville de Tours et sur la personne du Roi, 130. Il s’empare du faubourg de S.-Symphorien, 132. Se retire vers le Mans ; assiége et prend Alençon ; retourne à Paris, 135. Après la mort de Henri III, il publie une déclaration pour engager tous ceux du parti royal à se réunir à la Ligue, 268. Passe la Seine avec une armée nombreuse, 274. Se rend maître de Gournay, 275. Perd la bataille d’Arques, 282. Se retire vers Dieppe, 285, d’où il est encore obligé de s’éloigner, 286. Refuse le combat ; se retire en Picardie, 287. Rentre dans Paris, 293. Est nommé lieutenant général du royaume sous l’autorité du cardinal de Bourbon, déclaré roi par la Ligue, 315. Casse le conseil général de l’Union ; en crée un autre pour le suivre partout ; nomme quatre secrétaires d’État, 326. Convoque les États dans la ville de Melun, 327. Assiége et prend Pontoise, XL, 1. Assiége Meulan ; se retire de devant cette place à l’approche du Roi, 4. Revient la battre ; se retire encore, 5. Rompt le pont de Poissy, 6. Demande des secours aux ministres d’Espagne à Paris, 7. Joint le comte d’Egmont, qui lui amène des troupes étrangères, 17. Va au secours de Dreux, 18. Se prépare à livrer combat au Roi ; son ordre de bataille, son discours à son armée, 25. Perd la bataille et se retire à Mantes, 34. Sort de cette ville et se rend à S.-Denis, 39. Dépêche des courriers vers le Pape, le roi d’Espagne et les princes de la Ligue, pour demander des secours, 54. Fait présenter avec les grands de son parti une requête à messieurs de la Faculté, signée du prevôt des marchands et de quelques bourgeois, pour savoir si on doit obéir à un roi hérétique, 80. Le duc se rend à Cambray, où il est bien reçu par Balagny ; va trouver le duc de Parme à Condé, 96. Comment il y est traité, 97. Méprise le mémoire que les Seize lui font présenter, 130. Reprend Conflans-sur-Oise, 279. Manque une entreprise sur Mantes, 280. Se propose de secourir Noyon ; ruine l’Isle-Adam, 281. Retourne en diligence à Paris ; motifs de son retour, 359. Entré dans cette ville, il se décide à punir les principaux des Seize ; il les trompe par la bonne mine qu’il leur fait ; il fait pendre au