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Bessey (Ant. de), bailli de Dijon, conduit une troupe de Suisses à Gênes, XIII, 30. Est envoyé ambassadeur en Suisse pour demander une levée d’hommes, 158. Succès de cette ambassade ; nombre des Suisses qui arrivent en Italie, 175.

Bessières (le sieur de La) prend possession de Bayonne au nom du Roi, XI, 27.

Bétancourt (le sire de) est tué à la bataille de Cocherel, IV, 268.

Bétancourt (le sieur de) achève la déroute des Lorrains devant Sedan, XLI, 134.

Béthune (Guill. L’Advoué de), frère de Conon de Béthune, prend la croix, I, 102. Arrive dans le port de Constantinople après la bataille d’Andrinople, et refuse à Conon de Béthune de demeurer, 366. Se rend à Rodosto, où il refuse également de rester, 368.

Béthune (Jean), neveu de Conon, accompagne J. de Brienne, et défait avec lui Vatace et le roi des Bulgares sous les murs de Constantinople, I, 491. Accompagne le jeune Baudouin à Rome, 492. Est envoyé à Constantinople avec des troupes et des munitions ; est arrêté dans sa marche par l’empereur Frédéric II ; va trouver ce prince, qui le fait prisonnier, et ne le rend à la liberté qu’après une longue détention ; meurt à Venise, 496.

Béthune (le seign. de) est tué près de Saverne, à la bataille livrée aux paysans révoltés, XVIII, 6.

Béthune (M. de) conclut avec le cardinal Ludovisio un traité par lequel don Pèdre s’engage à désarmer aussitôt que M. de Savoie aura désarmé, et à lui restituer tout ce qui a été occupé par les Espagnols depuis le traité d’Ast, L, 403.

Beuil (Louis de), frère du seigneur de ce nom, est fait prisonnier devant Château-Gontier par les Anglais, VIII, 531.

Beuil (le baron de) brûle une partie des faubourgs d’Arras, XXXII, 214. Est blessé dans une sortie devant Metz, 310.

Beuil (Jacqueline de), nouvelle maîtresse du Roi, épouse le jeune Chanvalon ; détails curieux sur ce mariage, XLVII, 476. Elle est faite comtesse de Moret, 482.

Beuvron (le baron de), expatrié pour s’être battu en duel contre M. de Boutteville, empêche que la ville de Casal ne soit livrée aux Espagnols par trahison, LI, 92.

Bezart est traité de chien d’hérétique parce qu’il vend des portraits du Roi ; querelle à ce sujet ; le peuple y reste indifférent, XLVI, 526. La cour du parlement fait défense de vendre ces portraits, 527.

Bèze (Théod. de) achève la traduction en vers français du Psautier, commencée par Clément Marot, XVII, 147. Il raconte ce qui arriva au Pré-aux-Clercs à l’occasion de cette traduction, 148. (Introd.) — Paroît avec 12 de ses collègues au colloque de Poissy ; discours artificieux qu’il y prononce, XX, 98. (Introduc.) XXXIII, 147. — Est appelé auprès de Henri IV ; paroles remarquables qu’il lui adresse au sujet de sa croyance, XXXVI, 477. (Mém. de Pontlevoy.) — Sa réponse à Antoine de Bourbon sur le massacre de Vassy, XLV, 55. Sa mort, XLVII, 504. (Mém. de L’Estoile.)

Bianque (les), fils de René Bianque, parfumeur, sont roués pour avoir assassiné une dame de 70 ans, sa servante et son petit-fils, XLV, 307.

Bibars (V. l’art. Bondoctar.)

Biche (Guill.), attaché à l’hôtel du comte de Charolais, en est renvoyé par ordre du duc de Bourgogne son père, et se retire à Paris, d’où il instruit le Dauphin de tous les secrets des conseils du Roi, X, 226.

Bichi (le cardinal) est envoyé à Rome pour travailler à l’accommodement du différend élevé entre le duc de Parme et le cardinal Barberin au sujet du duché de Castro, LI, 304. Sa conduite dans cette affaire, 306.

Bichon, imprimeur des livres sé-