Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/73

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Quitte le duc d’Alençon fort mécontent de ce qu’il ne l’a point compris dans son traité avec la cour, 151. Revient à Turenne ; va trouver le roi de Navarre à Périgueux, 153. Ses occupations pendant la paix ; état de sa maison, 157. Il obtient la confiance de la sœur du roi de Navarre ; portrait de cette princesse, 158. Attaque le capitaine Vesins ; assiége une partie de sa troupe dans l’église de Jergon ; la force à se rendre, 159. Par sa diligence apaise une mutinerie, 160. Se rend à Montguyon avec le roi de Navarre, 161. Danger qu’il court près de Coutras, 163. Est blessé dans une rencontre au bourg appelé La Salvetat, 165. Le roi de Navarre le mène malade à Agen ; comment il guérit des suites de sa blessure, 166. D’après son conseil, le roi de Navarre convoque à Montauban une assemblée générale des députés protestans, où la Reine mère et le Roi envoient pour commissaire le sieur de Bellièvre ; résolutions qui y sont prises, 168. Est envoyé à Toulouse auprès de Catherine de Médicis ; objet de cette mission, 171. Leur conférence, 172. Propose au roi de Navarre de se saisir de Biron, regardé comme auteur de la prise de La Réole par les catholiques, 174. Force les habitans de Fleurance à ouvrir leurs portes au roi de Navarre et à sa suite, 177. Est envoyé en Guyenne pour faire exécuter les articles de la conférence de Nérac, 178. Détails sur son duel avec le sieur Duras de Rosan, 180. Ses réflexions sur les duels, 182. Il se rend avec le roi de Navarre à une assemblée générale des protestans à Montauban, 185. Reçoit du roi de Navarre le gouvernement du haut Languedoc, 186. Se rend à Castres, 187. Y convoque une assemblée des députés de toutes les villes de son gouvernement, 188. Résolutions de cette assemblée, 189. Marche sur La Bruyère, et s’en rend maître, 190. Empêche le ravitaillement de Sorrèze, 192. Marche sur Toulouse, et par représailles brûle plusieurs métairies appartenant à quelques principaux habitans, 195. Est appelé en Guyenne auprès du roi de Navarre, 196. Est envoyé au prince de Condé pour l’engager à consentir aux articles de la conférence de Fleix, 197. Son entrevue avec ce prince, 198. Fait publier la paix dans le Languedoc ; revient à Montauban se justifier auprès de lui, 199. Se rend comme volontaire auprès du duc d’Alençon, qui va dans les Pays-Bas, 200. Veut faire une reconnoissance dans Cambray, 201. Est renversé et fait prisonnier avec plusieurs gentilshommes ; détails, 202. Est présenté au duc de Parme, 204. Détails sur sa captivité, 206. Refuse au Roi de sortir de prison, à la condition qu’il promettra de ne plus porter les armes pour la religion nouvelle, 207. Obtient sa liberté au bout de trois ans ; se rend à Nérac auprès du roi de Navarre, 208. Lui conseille de faire arrêter un valet de chambre de la reine Marguerite, porteur de dépêches secrètes au duc de Guise ; pourquoi ce conseil mal suivi devient inutile, 209. Est envoyé vers la Dordogne pour lever des régimens, 213. Passe la rivière de l’Île à la tête d’une petite armée ; instruit le roi de Navarre et le prince de Condé des forces qu’il a réunies, et les prie de venir le joindre pour attaquer ensemble les troupes de la Ligue, 214. Averti que Mayenne doit se porter en Auvergne pour s’emparer de ses domaines, en instruit le roi de Navarre, 216. Se porte de ce côté ; prend Tulle, met une garnison dans Turenne, et retourne à Bergerac, 217. Est chargé de garder les places de la Dordogne ; mesures qu’il prend à cet effet, 218. Suit le duc de Mayenne dans le Quercy ; fortifie Nérac, 223. (Mém. de Bouillon.) — Amène des Allemands au service du Roi, XXXVI, 186. Défait le grand maréchal de Lorraine à Beaumont ; s’empare de force de Dun près de Sedan, 216. Défait la garnison espagnole de la ville de Ham en Picardie, 296. Est envoyé en Hollande