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Page:Peyrebrune - Gatienne.djvu/70

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gatienne

vint. Alors il dit son nom et monta un étage ; puis il attendit. Rien ne bougeait. Il monta encore ; quelque chose le tirait vers Gatienne, qui lui arrachait le cœur. Il eût donné sa vie pour qu’elle ouvrît. Il écouta. Un frôlement passait devant la porte de sa chambre ; il appuya ses lèvres sur le bois. Il entendit un bruit d’étoffes qui tombent ; puis plus rien…

Il mit ses mains à ses oreilles qui bourdonnaient, et s’enfuit.