en appelant l’accélération correspondant au champ constant, on aura
la force sera égale à et la direction du champ sera celle de . D’autre part, d’après le second principe, on obtiendra la position du point au temps , en transportant le segment parallèlement à lui-même de manière que vienne en ; on en conclut de suite que est égal et parallèle à . Si nous considérons maintenant le mouvement réel du point comme la limite d’une succession de mouvements discontinus analogues à celui que nous venons d’envisager pendant le temps très petit , nous serons tout naturellement conduit à regarder comme représentant la force au temps la limite de la force . En désignant donc par l’accélération de au temps , et en désignant par la force, on aura l’égalité géométrique fondamentale
Le vecteur qui représente la force ne diffère donc du vecteur qui représente l’accélération que