Page:Pichot - Monsieur de l'Etincelle, ou Arles et Paris, t. I, Gosselin, 1837.djvu/342

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

assez lâche pour me laisser traîner devant nos juges, victime ridicule et baissant la tête, là où mes camarades regarderont fièrement autour d’eux en vaincus plutôt qu’en coupables.

» M. B. »