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Page:Pierre Corrard - Les Opalines, 1908.pdf/185

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LES OPALINES

yeux. Et pareillement mon âme se reflète en la sienne. Nous ne sommes plus que deux aspects d’un même Egoïsme. Et le monde peut faire ce qu’il voudra, il ne fera mieux désormais que de lécher en vain les murailles de cet Egoïsme où s’est réfugiée notre inaltérable félicité.