Page:Pitzipios-Bey - L’Orient, les réformes de l’Empire byzantin, 1858.djvu/16

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mon exil j’aurai du moins la satisfaction d’avoir, en plaçant le fanal sur l’écueil, montré le péril et contribué de loin au salut de notre pays et de votre dynastie.

C’est à cela que se borne mon ambition.

J’ai l’honneur d’être,
Sire,
Avec le plus profond respect,
De Votre Majesté Impériale
Le très — humble et très — dévoué sujet,
J. G. Pitzipios-Bey.

Paris, le 1er mai 1858.