Les éditions et Heindorf : ὁμολογήσαντός μου. Schleiermacher prouve très bien que la leçon d’Heindorf est en contradiction avec ce qui suit, σκεψάμενος ἐθέλω εἰπεῖν εἴθ’ ὁμολογῶ εἴτε μὴ, et il propose ὁμολογήσαντος ἢ οὐ. Bekker mieux encore σοι.
Schleiermacher propose la correction suivante, ὡς ἔστιν τὸ αὐτό ὅτι τὶς οἶδεν εἰδέναι καὶ ἅ τις μὴ οἶδεν ἢ μὴ οἶδεν εἰδέναι, sur ce principe que le but de Socrate est de montrer la différence qui existe entre savoir qu’on sait, et savoir ce qu’on sait. J’en conviens ; mais s’ensuit-il que cette différence doive se trouver précisément dans cette phrase isolée ? Socrate veut conduire à cette conséquence ; mais il ne l’énonce pas encore, il le fera plus loin. Il a accordé que l’on doit avoir les qualités que possède ce que l’on a, et que, par exemple, si l’on a la science qui se connaît elle-même, on doit se connaître soi-même ; mais il ne