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LIVRE SEPTIÈME.


mément dans l’Âme universelle et dans les âmes particulières qui sont unies toutes ensemble[1]. Le temps n’est donc pas divisé entre les âmes, pas plus que l’éternité n’est divisée entre les essences, qui à cet égard sont toutes uniformes entre elles[2].


  1. Voy. Enn. IV, liv. IX.
  2. Cet alinéa est cité par Simplicius dans son Commentaire sur la Physique d’Aristote, p. 187.