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Page:Poésies complètes de Robert Burns, 1843.djvu/386

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POÉSIES DE BURNS.

Sans, au”moins, un honnète homme,
Pour relever cette maudite infernale bande. »
Elle jeta un coup d’œil sur Adamhill.
« Scigneur Dicu ! » dit-cllo, « j’ai mon affaire ;
Voici précisément l’homme qu’il me faut, ma foi ! »
Et vite clle ta la respiration à Rankine.
SUR CE QU’ON DISAIT
QUE LE RÉVÉREND DOCTEUR B— AVAIT DE LA FAUSSETÉ
JUSQUE DANS LES REGARDS.
Qu’il y ait de la fausseté dans ses regards,
Je dois et veux le nier :
1ls disent que son maître est un coquin—
Et certes ils ne mentent pas.
SUR UN MAITRE D’ÉCOLE
DE LA PAROISSE DE CLEISH FIFESHIRE.
Ci-gisent les os de Willie Michic ;
O Satan ! quand vous le prendrez,
Confiez-lui l’éducation de vos enfants,
Car il en fera d’habiles démons|
AU GÉNÉRAL DUMOURIER.
Vous êtes bien venu des despotes, Dumourier ;
Vous êtes bien venu des despotes, Dumourior ;
Comment va Dampierre ?
Oui, et Bournonville aussi ?
Pourquoi ne sont-ils pas venus avec vous, Dumourier ?