Livre:Poésies complètes de Robert Burns, 1843.djvu
Apparence
Titre | Poésies complètes de Robert Burns |
---|---|
Sous-titre | Traduites de l’Écossais par M. Léon de Wailly |
Auteur | Robert Burns ; Léon de Wailly préfacier |
Éditeur | Léon de Wailly |
Maison d’édition | Adolphe Delahays |
Année d’édition | 1843 |
Bibliothèque | |
Fac-similés | djvu |
Avancement | À corriger |
Pages
— — — — — — Ft. Impr. Gt. — i ii iii iv v vi vii viii ix x xi xii xiii xiv xv xvi xvii xviii xix xx xxi xxii xxiii xxiv xxv xxvi xxvii xxviii xxix xxx xxxi xxxii xxxiii xxxiv xxxv xxxvi xxxvii xxxviii xxxix xl 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 116 117 118 119 120 121 122 123 124 125 126 127 128 129 130 131 132 133 134 135 136 137 138 139 140 141 142 143 144 145 146 147 148 149 150 151 152 153 154 155 156 157 158 159 160 161 162 163 164 165 166 167 168 169 170 171 172 173 174 175 176 177 178 179 180 181 182 183 184 185 186 187 188 189 190 191 192 193 194 195 196 197 198 199 200 201 202 203 204 205 206 207 208 209 210 211 212 213 214 215 216 217 218 219 220 221 222 223 224 225 226 227 228 229 230 231 232 233 234 235 236 237 238 239 240 241 242 243 244 245 246 247 248 249 250 251 252 253 254 255 256 257 258 259 260 261 262 263 264 265 266 267 268 269 270 271 272 273 274 275 276 277 278 279 280 281 282 283 284 285 286 287 288 289 290 291 292 293 294 295 296 297 298 299 300 301 302 303 304 305 306 307 308 309 310 311 312 313 314 315 316 317 318 319 320 321 322 323 324 325 326 327 328 329 330 331 332 333 334 335 336 337 338 339 340 341 342 343 344 345 346 347 348 TdM. TdM. TdM. TdM. TdM. TdM. TdM. TdM. — — — — — —
TABLE
Notice sur Burns
POÈMES.
Les deux Chiens. Conte
La Boisson écossaise
Réclamation aux représentants de l’Écosse
La Foire sainte
La Mort et le docteur Hornbook
Les Ponts d’Ayr
L’Ordination
Requête au Diable
Mort et dernières paroles de la pauvre Mailie
Élégie de la pauvre Mailie
À James Smith
Songe
La Vision
Discours aux Très-bons
Élégie de Tam Samson
Épitaphe
Erratum
La Veille de la Toussaint
Compliment de nouvel an du vieux fermier à sa jument
À une Souris
Une Nuit d’hiver
Épître à Davie
Lamentation
Le Découragement. Ode
L’Hiver
Le Samedi soir dans la chaumière
L’Homme est né pour gémir
Prière en vue de la mort
Stances sur le même sujet
Vers laissés par l’auteur dans une chambre où il avait couché
Le premier Psaume
Prière sous le poids d’une violente douleur
Les six premiers versets du 90e Psaume
Stances à une marguerite de montagne
À la Destruction
À miss Logan
Épître à un Jeune ami
Sur un Barde écossais parti pour les Indes occidentales
À un Haggis
Dédicace à Gavin Hamilton
À un Pou
À Edimbourg
Épître à J. Lapraik
Au même
À William Simpson
Post-scriptum
Épître à John Rankine
Jean Grain-d’Orge. Ballade
Quand le brave Guilford… Fragment
Écrit dans l’Ermitage de Friagre-Carse
Ode à la mémoire de mistress Oswald
Élégie sur le capitaine Matthew Henderson
Épitaphe. Arrête, passant
Lamentation de Mary, reine d’Écosse
À Robert Graham
Lamnentation sur James, comte de Glencairn
Vers envoyés à sir John Whitefoord
Tam O’Shanter. Conte
En voyant un Lièvre blessé
À l’Ombre de Thomson
Sur le petit Johnny
Sur le Père de l’auteur
Sur Robert Aiken, Esq.
Pour Gavin Hamilton, Esq.
Épitaphe d’un Barde
Sur les Pérégrinations du capitaine Grose
À miss Cruikshanks
En lisant dans un journal la mort de John Mac Leod, Esq.
Humble pétition de l’eau de Bruar
En effrayant des oiseaux d’eau à Loch-Turit
Écrit au crayon sur le chambranle de la cheminée
Écrit au crayon debout près de la chute de Fyers
Sur la Naissance d’un enfant posthume
Le Sifflet. Ballade
Seconde épître à Davie
Adieu à l’Ayrshire
CHANSONS.
I. Un bouton de rose
II. Adieu aux frères de la loge de Saint-James
III. J’errais, suivant les détours du Nith
IV. Un tendre baiser
V. Rendue à la joie, la Nature voit
VI. Quand mon lit serait là-bas. Fragment
VII. Contre les arbres où les abeilles bourdonnantes
VIII. Oh ! quand j’aurai vingt et un ans, Tam
IX. Sombre Décembre
X. Anna, tes charmes enflamment mon sein
XI. Le Laboureur
XII. Va donc pour une fille avec une dot
XIII. Là-bas derrière ces montagnes
XIV. Voici l’heure
XV. Le bois de Craigie-Burn
XVI. Joyeuse elle était
XVII. J’ai été joyeux là-bas
XVIII. Les bouleaux d’Aberfeldy
XIX. La belle petite
XX. Le Vieillard
XXI. Près de la rivière d’Allan
XXII. Imitation d’une vieille chanson jacobite
XXIII. Peux-tu me quitter ainsi, ma Katy
XXIV. Appelle les brebis sur les hauteurs
XXV. Clarinda
XXVI. Viens, laisse-moi te prendre sur mon sein
XXVII. Content de peu
XXVIII. Berger abusé
XXIX. Les Volontaires de Dumfries
XXX. Duncan Gray
XXXI. La plus belle des filles
XXXII. Chant de guerre
XXXIII. Adieu, onde qui coule en serpentant
XXXIV. Adieu de Mac-Pherson
XXXV. Lamentation d’une mère sur la mort de son fil
XXXVI. Sifflez sur le reste
XXXVII. Afton
XXXVIII. Délaissée, mon amour
XXXIX. Eliza
XL. Ça donc, hôtesse, additionne le compte
XLI. Ma belle Mary
XLII Les joncs verdissent
XLIII. Si j’avais un autre
XLIV. Coureur de Willie
XLV. Les bords de la Cree
XLVI. Voici une bouteille et un bon ami
XLVII. À la santé de celle que j’aime
XLVIII. Chant patriotique
XLIX. Ses boucles flouantes. Fragment
L. Sur les mers et bien loin
LI. Imité d’une vieille chanson anglaise
LII. Combien longue et triste est la nuit
LIII. Mon mari, mon mari
LIV. Je confesse que tu es si belle
LV. Je rêvais que j’étais couché
LVI. La fille aux yeux bleus
LVII. Personne
LVIII. Je repasserai toujours par la ville là-bas
LIX. Je te baiserai encore
LX. La jeune paysanne
LXI. Après tout, après tout
LXII. Imité d’une vieille chanson anglaise
LXIII. C’était la nuit du 1er d’août
LXIV. Jockey a pris le baiser du départ
LXV. John Anderson
LXVI. Fille aux cheveux de lin
LXVII. Ballade écossaise. En mai dernier
LXVIII. Que jamais femme ne se plaigne
LXIX. Sur la maladie de Chloris
LXX. Le jeune montaguard errant
LXXI. Louis, qu’est-ce que je me soucie de toi
LXXII. Regardez tout ce faste
LXXIII. Songeant à la mer rugissante
LXXIV. Chloris
LXXV. Mon père était un fermier
LXXVI. Tam Glen
LXXVII. Pour l’amour de quelqu’un
LXXVIII. Mon cœur est dans les Hautes-Terres
LXXIX, Peggy
LXXX. Aucune noble dame
LXXXI. Je ne suis point un homme d’église
LXXXXII, Maintenant collines et coteaux
LXXXIII. Ma Nannie est partie
LXXXIV. Charmant Davie
LXXXV. À M. Cunningham
LXXXVI. Composé en août
LXXXVII. Oh ! il était beau
LXXXVIII. Fragment, dans le Recueil des chants écossais de Witherspoon
LXXXIX. Le beau garçon qui est au loin
XC. Meg du moulin
XCI. Ô ma belle
XCII. Réponse de la femme
XCIII. Bess et son rouet
XCIV. Ô Logan, que ton flot était charmant
XCV. Le bouquet
XCVI. Mary Morison
XCVII. Ô Mai, ton matin ne fut jamais si doux
XCVIII. Ma dot est le joyau
XCIX. Lord Gregory
C. Oh ! mon amour
CI. Oh ! j’ai une fois aimé
CII. Duo
CIII. Ô froide pauvreté
CIV. Oh ! le souffle desséchant
CV. La belle Lesley
CVI. Avez-vous vu ma Phely
CVII. À l’alouette des bois
CVIII. Oh ! ce n’est pas ma chère fillette
CIX. Ô Tibbie, j’ai vu le jour
CX. Oh ! savez-vous
CXI. Oh ! si j’étais sur le mont Parnasse
CXII. Oh ! qui est-elle
CXIII. Le chien de papa que j’ai là !
CXIV. Oh ! sifflez et je viendrai
CXV. Oh ! Willie brassa un picotin de drèche
CXVI. J’aime ma Jeanne
CXVII. Oh ! ouvre la porte
CXVIII. À une dame
CXIX. Sur les bords de Cesenock vit une fille
CXX. Une unit que j’errais
CXXI. Par-dessus le Forth je regarde le norde
CXXII. Puissances célestes dont la protection
CXXIII. Les vents furieux autour d’elle soufflant
CXXIV. Elle dit qu’elle m’aime le mieux
CXXV. Bannockburn
CXXVI. Ma femme est une charmante petite créature
CXXVII. Elle est belle et fausse
CXXVIII. Le bon vieux temps
CXXIX. Salut matinal de l’amant à sa maîtresse
CXXX. Restez, mon enchanteresse
CXXXI. Le château de Gordon
CXXXII. Le soir tombe avec charme sur Craigie-Burn
CXXXIII. Les coteaux de Ballochmyle
CXXXIV. Le jour revient
CXXXV. le diable vint flâner par la ville
CXXXVI. Les ombres de la puit s’amassent rapidement
CXXXVII. La bruyère feurissait
CXXXVIII. La brume indolente
CXXXIX. L’aimable fille d’Inverness
CXL. La jolie Bell
CXLI. Les bords du Nith
CXLII. L’hiver est passé. Fragment
CXLIII. Que les pays étrangers citent
CXLIV. La belle Jeanne
CXLV. Calédonie
CXLVI. Le vieux Rob Morris
CXLVII. Galla-Water
CXLVIII. Il y a un jeune garçon dans cette ville
CLIX. Il y avait un garçon qui était né à Kyle. Fragment
CL. Lamentation de Strathallan
CLI. Je suis à toi, ma beauté fidèle
CLII. Quand le destin cruel
CLIII. Tu m’as quittée pour toujours, Jamie
CLIV. À toi, Nick chéri. Fragment
CLV. Jessie
CLVI. La fille de Ballochmyle
CLVII. Ce ne fut pas son bel œil bleu
CLVIII. Belle Eliza
CLIX. Debout le matin de bonne heure
CLX. Triste est mon cœur
CLXI. Qui est à la porte de mon bosquet ?
CLXII. Que peut faire une jeune fille d’un vieillard ?
CLXIII. Quand j’arrivai, Fragment
CLXIV. La pelouse
CLXV. Quand l’ouragan mortel
CLXVI. La belle Jenny
CLXVII. Là où, bravant les tempêtes
CLXVIII. Le galant tisserand
CLXIX. Philis la belle
CLXX. Pourquoi ? pourquoi dire à ton amant, Fragment
CLXXI. Une femme comme celle de Willie
CLXXII. À Mary. Voulez-vous aller aux Indes ?
CLXXIII. Veux-tu être ma chérie
CLXXIV. La montagnarde Mary
CLXXV. Les bords du Doon
CLXXVI Prenez garde à la jolie Anne
CLXXVII. Hier j’avais une pinte de vin
CLXXVIII. Ces monts sauvages et moussus
CLXXIX. Le jeune Jockey
CLXXX. La jeune Peggy
CLXXXI. À miss Graham de Fintray, en lui faisant cadeau de chansons
POÉSIES POSTHUMES.
À Mary dans le ciel
Vers sur une entrevue avec lord Daer
À une jeune personne demeurant sur les bords du Devon
Sur la mort d’un petit chien nommé Écho
À la mémoire de Fergusson
Lamentation du Chevalier
Épître à R. Graham, esq
Fragment. Dédié au très-hon. C.-J. Fox
Au docteur Blacklock
Prologue récité sur le théâtre de Dumfries, le jour de l’an
Élégie sur miss Burnet de Monboddo
Les droits de la Femme
Discours prononcé par miss Fontenelle à son bénéfice
Vision
À Chloris, vers écrits sur un exemplaire de ses poésies qu’il lui offrait
PIÈCES EXTRAITES DE LA CORRESPONDANCE
DE L’AUTEUR.
DE L’AUTEUR.
À M. William Tytler, en lui offrant le portrait du barde
À une personne qui lui avait envoyé un journal
Sur la Poésie pastorale
Sur la bataille de Sheriff-Muir
La nouvelle année
Impromptu sur W. Smellie
Inscription pour un autel à l’Indépendance
Sonnet sur la mort de R. Riddel
Monodie sur une dame connue pour ses caprices
Son Épitaphe
L’Inventaire
Impromptu sur le jour de naissance de mistress Riddel
À miss Jessy Lewars
Sonnet écrit le 25 janvier 1793
Impromptu à M. Syme
À M. Syme en lui offrant douze bouteilles de porter
À M. Mitchell
Post-scriptum
À une Personne qu’il avait offensée
Sur la Vie
Le mal de Dents
Vers écrits dans l’enveloppe d’une lettre adressée au capitaine Grose
À Robert Graham, esq. de Fintray
Épitaphe d’un Ami
Un Bénédicité
Sur la Sensibilité
L’Hospitalité des Hautes-Terres
Épître à W. Creech
Liberté. Fragment
Élégie sur la Mort de Rohert Ruisseaux
À la maîtresse de Wanchope House
À John Lapraik
Au révérend John Mac-Math
À Gavin Hamilton, esq
À M. Mac-Adam de Craigen-Gillan
Au capitaine Riddel de Glenriddel
À John Maxwell de Terraughty
À Clarinda en lui faisant cadeau de deux verres à boire
Les Voyelles. Conte
Esquisse
Prologue écossais
Impromptu sur sa nomination de jaugeur
Le Doyen de la Faculté. Ballade nouvelle
Impromptu sur le lord Avocat
À John Rankine
Sur ce qu’on disait que le Révérend docteur B— avait de la fausseté jusque dans les regards
Sur un maître d’école de la paroisse de Cleish Fifeshire
Au général Dumourier
Élégie sur l’année 1788
Vers écrits sous le portrait du poète Ferguson
Les Joyeux Mendiants. Cantate
FIN DE LA TABLE.