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Page:Poggio - Les facéties (trad. de Brandes).djvu/531

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TABLE DES MATIÈRES

CCXLII. — Geste significatif, mais grossier d’un Florentin 298

CCXLIII. — Drôle de demande d’un vieillard impuissant. 299

CCXLIV. — Amusante moquerie des Vénitiens par une courtisane 301

CCXLV. — D’un ignorant qui confondit des savants… 302

CCXLVI. — Réponse maligne à un marchand qui accusait les autres de folie 302

CCXLVII. — Réponse d’une femme à un jeune homme éperdumcnt amoureux d’elle 303

CCXLVIII. — Contre les vantards 304

CCXLIX. — D’un homme qui demeura deux ans sans boire ni manger 306

CCL. — D’un àne qu’on devait instruire 308 Appendice 437, 438

CCLI. — A propos d’un prêtre ignorant 309

CCLII. — D’un usurier converti 310

CCLIII. — Fable des oiseaux parleurs 311

CCLIV. — La manie des chaînes 311

CCLV. — Mot plaisant de Ridolfo de Camerino 312

CCLVI. — Le vase d’huile renversé 31

CCLVII. — Des jeunes QUes qui se moquent d’un chauve. 314

CCLVIII. — Maître Perd-les-Causes 315

CCLIX. — D’une chanson qui plut aux aubergistes… 316

CCLX. — A propos d’un homme maigre 317

CCLXI. — Amusante réponse d’une femme dont l’encrier était vide 318 Appendice 439

CCLXII. — Sur le petit nombre dos amis de Dieu 318

CCLXIII. — Le moine quêteur, le laïque et le loup… 319

CCLXIV. — Compensation 320

CCLXV. — Mots pleins de sel de deux jeunes Florentins. 322

CCLXVI. — D’un jeune homme qui pissa sur la table.. 322

CCLVII. — A propos d’une Florentine prise en flagrant délit 324

CCLXVIII. — Le mort qui parle 325

Appendice 440

CCLXIX. — Un problème embarrassant 327

CCLXX. — D’un meunier trompé par sa femme qui lui donna cinq œufs à manger 328

CCLXXI. — Délie façon de nier la beauté 330

CCLXXII. — Réponse plaisante, mais peu honnête, d’une femme 330

Appendice —. 412, 414

CCLXXIII. — Tout ce qui branle ne tombe pas 332

Conclusion 332