Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
aucune expérience comparative sur la saveur du civet de matou. C’était à recommencer !
⁂
À tout instant, des bruits de départ nous tenaient en éveil. Tantôt, il s’agissait d’aller rejoindre l’armée des Vosges. Tantôt, on devait nous envoyer à Besançon. Cette perspective de prendre une part active à la guerre nous réjouissait et nous n’eussions certes pas regretté les boues de Bessoncourt.
Le 25 octobre, nous fûmes dirigés sur les Basses-Perches que notre compagnie ne devait plus quitter.
Cependant, les bruits de départ prenaient