par la lumière pour aller d’un point à l’autre de l’électron ; en d’autres termes, dépendra non seulement de mais de leurs dérivées de tous les ordres par rapport au temps.
Eh bien, le mouvement sera dit quasi-stationnaire quand les dérivées partielles de par rapport aux dérivées successives de seront négligeables devant les dérivées partielles de par rapport aux quantités elles-mêmes.
Les équations d’un pareil mouvement pourront s’écrire :
(1)
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Dans ces équations, a la même signification que dans le § précédent ; sont les composantes de la force qui agit sur l’électron : cette force étant due uniquement aux champs électrique et magnétique produits par les autres électrons.
Observons que ne dépend de que par l’intermédiaire de la combinaison
c’est-à-dire de la grandeur de la vitesse ; on a donc, en appelant encore la quantité de mouvement :
d’où :
(2)
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(2bis)
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avec
(3)
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Si nous prenons la direction actuelle de la vitesse pour axe des il vient :
les équations (2) et (2bis) deviennent :
et les trois dernières équations (1) :
(4)
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