Page:Polonius - Poésies, 1827.djvu/86

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Chanson klephte



 
Sur une lance, au bord du camp,
Ils avaient exposé sa tête
Aux vils outrages du passant,
Aux vents glacés de la tempête !
O fureur ! et nos faibles bras
En vain s’agitaient dans les chaînes !….
Mais au sein même du trépas
Dieu veille encor sur les Hellènes.