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L’HIVER
aux riches
Lorsque sur nos roches scabreuses,
Froid comme le trépas, le soir
Étend ses ailes ténébreuses ;
Lorsque, de leur sombre encensoir,
Les vagues font jaillir l’écume
Dans les airs saturés de brume,
Sur ces rocs que le temps consume
Triste et songeur je viens m’asseoir.