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L’avent

les liens qui les retiennent, de briser les habitudes qui les captivent ; qu’ils affaiblissent la chair, et commencent le dur travail de la soumettre à l’esprit ; qu’ils prient surtout avec l’Église ; et quand le Seigneur viendra, ils pourront espérer qu’il ne franchira pas le seuil de leur porte, mais qu’il entrera : car il a dit, en parlant de tous : Voici que je suis à la porte et que je frappe ; si quelqu’un entend ma voix et m’ouvre, j’entrerai chez lui[1].




  1. Apoc. iii. 20.