Page:Psichari - L'Appel des armes (1919).djvu/71

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

plus grande pour l’amour que ces ruines, — ou les cimetières…

Pourtant Maurice rattachait, en s’en revenant le soir vers la petite gare, ses impressions de la journée à celles qu’il avait ressenties quelques jours auparavant avec Nangès. Le lien n’était pas apparent, ni le raccord facile. Pourtant Maurice souhaitait que ce fut le capitaine qui lui expliquât un jour la vraie nature de son émotion devant ces ruines catholiques.