Page:Publications de la société d'archéologie dans le duché de Limbourg, volume 1 , 1864.djvu/28

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pays de Liége, ont été et sont encore trop intimes, trop vivaces, pour qu’un Belge, un Limbourgeois, ne prenne pas à cœur tout ce qui peut être propre à les rappeler, les illustrer et les cimenter. A cette fin, M. le président, la société archéologique que vous venez de fonder et dont le siége est à Maestricht, est loin, selon moi, d’occoper la dernière place. Bien naturel est donc mon désir de la voir pleinement réussir. Aussi, si contre mon habitude, j’ai donné mon nom à votre bulletin d’adhésion, c’est que je voudrais pouvoir, en temps et lieu, y contribuer dans la mesure de mes forces. »

— M. Stas, conseiller à la cour de cassation de Bruxelles, en adhérant à la société, dit dans sa lettre du 5 décembre: « Je ne saurais être indifférent Monsieur, aux travaux d’une société qui s’occupe de l’histoire d’une province, à laquelle je suis attaché par ma naissance, ainsi que par d’anciens et de longs souvenirs. »

— M. Reinartz, doyen de l’église primaire de Tongres, et membre correspondant de la commission royale des monuments (Belgique) exprime toute sa sympathie pour la société en s’inscrivant comme membre.

— M. le colonel H. de Veije de Burine, à Utrecht, écrit dans sa lettre d’adhésion: « qu’il est charmé et honoré d’être membre de la société archéologique dans le duché de Limbourg. »

— M. le baron Charles de Keverberg d’Aldengoor, écrit à M. le président qu’il tâchera d’enrichir le musée de quelques antiquités, promesse pour laquelle le comité exprime sa reconnaissance à M. de Keverberg. Le comité regrette de ne pouvoir publier l’ouvrage, dont s’occupe M. le baron de Keverberg, comme n’entrant pas dans le cercle des travaux de la société.

— M. le vicomte Eugène de Kerkhove, ancien ambassa-


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