Page:Révéroni Saint-Cyr - Pauliska, ou la Perversité moderne, An 6.djvu/376

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ville, et pendant tout ce tems mon Maître d’écriture a tenu son mouchoir sur ma bouche. Quelqu’un a ouvert la portière, en entendant un cri sourd. « Ce n’est rien, cet enfant a une légère hémoragie, » a répondu le maître en m’étouffant de son mouchoir, et la voiture est repartie de nouveau. Mêmes soins, même course précipitée jusqu’à Bologne, où je suis descendu et où j’ai été conduit mystérieusement chez le Peintre, frère de mon Maître d’écriture. J’ai été reçu avec des précautions extrêmes, des soins physiques extraordinaire ; mais ma mère !… mais l’esclavage !… J’ai remarqué que mon guide a donné une lettre à son frère en descendant, et que dès le lendemain, on a commencé à me peindre et à me mettre au régime. J’ai eu le bonheur de sous-