cette histoire du Théâtre d’honneur et de Chevalerie, de La Colombière, tome II, page 300. Plusieurs autres auteurs en font mention, notamment Julius Scaliger, dans son livre contre Cardan.
La mémoire de ce chien a mérité d’être conservée à la postérité par un monument qui subsiste encore sur la cheminée de la grande salle du château de Montargis ; mais il faut savoir que ce trait d’histoire y est effectivement consigné, le temps ayant presque détruit le tableau sur lequel il est représenté. Quoi qu’il en soit, c’est à cette peinture que le chien d’Aubry de Montdidier doit d’être connu sous le nom du Chien de Montargis.
LES CHIENS DE LA RÉVOLUTION
Durant la révolution, les guichetiers, chargés de la garde des prisonniers, se faisaient souvent seconder, dans leur surveillance, par des chiens qu’ils avaient dressés à cet effet. L’intelligence de plusieurs de ces animaux étaient vraiment merveilleuse. Il en était un surtout distingué par sa taille