L. 26 : Ioueurs de paſſe paſſe. Les éditions de 1542 et 1547 ont ici en plus : « Enchanteurs, Vielleurs, Oblieurs, Poetes. »
Page 244, l. 6 : Lan D. XXIIIJ. « Il avoit paru pluſieurs Predictions qui à cauſe de la grande conjonction de Saturne, de Jupiter & de Mars au ſigne des Poiſſons en 1524, annonçoient pour le mois de Fevrier de cette année là un ſecond Deluge univerſel : & il n’en a pas fallu davantage pour faire courir en foule à S. Jaques en Galice la nation Alemande encore en ce tems-là fort entêtée des pélerinages. » (Le Duchat)
Page 245, l. dernière : Adeo… beatum. Voyez ci-dessus, p. 293, la note sur la l. 13 de la p. 422.*
... Nihil est ab omni
Parte beatum.
Page 246, l. 22 : Aries. Nom latin de la constellation du Bélier.
Page 247, l. dernière : Attendez la venue du boyteux. C’est le temps qui est ainsi désigné proverbialement :
Attendant le boiteux, je conſolois Lucrèce.
Page 248, l. 3 : Chapitre vii. Ce chapitre et les trois suivants ne se trouvent pas dans les premières éditions.
L. 19 : Pour autant que &c. Il feint de commencer à donner une explication scientifique, puis s’arrête brusquement.
Page 249, l. 2 : Les gryphons, & marrons. Rabelais appelle en plaisantant les guides ou porteurs gryphons, non, comme le dit Le Duchat, parce qu’ils montent « comme de vrais gryphons, » mais parce qu’ils ont les jambes garnies de crampons de fer appelés griffes. — Quant au mot marron, il est d’origine italienne : « Marrone, dit Oudin, maron, homme qui ſert à paſſer les montaignes & principalement au mont Cenis. » Montaigne a dit dans ses Voyages, à l’article Novaleſe : « Locai li otto marronii quali mi portaſſero in ſedia fin alla cima di Mon Senis. » C’est de l’un d’eux