LETTRES. DOCUMENTS.
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Page 373 : Svssanaevs. Cette pièce de Susan- neau est tirée de ses Ludi, 1538.
Page 374 : Salmonivs Macrinvs. Cette pièce est tirée du livre 11 de l’ouvrage intitulé : Salmonii Ma- crini odarum librL fex^ Seb. Gryphius Lugduni, 1537, in-8".
Page 376 : Stephani Doleti Ad Fro-ncifcum RabeLefum… Carmen. Cette pièce et lesdeux qui la sui- vent sont tirées du recueil intitulé : Doleti Gd.Ui Aii- rel’iL Carmlnum libri quatuor, Lugduni, anno MDXXXVIII, 4" (lib. II, carni. XIV et xv, p. 75 etlib.iv, carm. xviil p. 164). Il y a encore dans le volume deux autres pièces moins importantes adressées à Rabelais, que nous nous contenterons de mentionner. En voici les titres : Ad Francifcum RabeLefum. De mutua inter fe^ 9B’ Clemen- tem Marotum amicitia^ lib. i, carm. XXIII, p. 30. Ad Francifcum RabeleFfum.Demedico quodam indoclo.Yib. I, carm. LXVI, p. 55’.
L. II : F. Raeelaesi… carivien. « Vers de Rabelais à Dolet sur legarum. ))
« Je t’envoie ce garum, inconnu de nous, que firent jadis tant de médecins anciens. Tu ajouteras autant de vinaigre, autant d’huile que tu voudras. Il en est a^ixquels le beurre est plus agréable que l’huile. Aucun remède ne rétablira mieux tes forces affaiblies lorsque tu te plonges trop dans tes livres, aucun ne débarrasse mieux de la pituite, aucun ne peut relâcher le ventre plus facilement. Tu seras étonné, lorsque tu auras pris du garus, qu’aucune salaison, même douce, ne te plaise. »
Page 379 : Nicolai Borbonii ad Rabelae- SUIM CARMEN. Tiré de l’ouvrage intitulé : Nicolai Borbonii nugarum libri oclo. Lugduni, 1538 (lib. m, carm. lxvii, p. 247). — C’est à la suite de ces diverses poésies latines que nous aurions placé, si nous les avions eus alors à notre disposition, les vers suivants du pro- fesseur de droit Boyssonné sur un enfant de Rabelais, né à Lyon, et qui vécut seulement deux années. Ra-