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le vieillard.
Une autre après la tienne, ô jeune infortuné,
Une autre dans ton cœur à ce point fut chérie !
le jeune homme.
Elle était toute en pleurs : j’en ai fait ma patrie !
À l’indignation dont j’étais enflammé,
Je me suis senti fils du pays opprimé !
le vieillard.
Et combien t’ont suivi marchant au sacrifice ?
le jeune homme.
Je suis parti tout seul, n’ayant que la justice !
Je n’ai pas regardé si quelqu’un me suivait.
Contre ses oppresseurs un peuple se levait ;
Le droit se débattait contre la violence :
J’avais un peu de sang à mettre en la balance !…
le vieillard.
Ton nom ?