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éponge dont je me servais pour ma toilette, elle la trempe dans la tasse et l’épreint sur ses cuisses, de façon à s’en inonder l’entre-jambes. Elle met le nez du chat dans ses cuisses, et voici la minette qui, de sa langue gourmande lui lèche la chair rose. Comme la chatte relevait la tête et qu’elle se léchait et se reléchait le poil, Valentine la prit par la peau du cou, la mit entre mes cuisses. La chatte me donna le plaisir qu’elle venait de causer à mon amie, bien que je trouvai sa langue un peu rude, mais le chatouillement était plus vif ; et puis j’étais si excitée à ce moment-là que le moindre attouchement m’eût causé une jouissance. Quand elle eut fini, et qu’elle se fut bien reléchée, elle leva le derrière et le tendit vers nous, la queue haute et gonflée. Je vis les deux trous qu’elle avait au milieu de son poil. Valentine lui introduisit alors le doigt dans le trou le plus éloigné de sa queue, et la chatte commença à lever et à baisser son arrière-train et à remuer l’une après l’autre ses pattes de derrière en miaulant. Tout à coup elle se roula sur le lit en poussant des cris horribles. J’étais