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s’amincissant au genou, les fesses s’arrondissaient larges et d’un dessin hardi, de vraies fesses de flamande, mais d’une flamande qui ne trompe pas avec ses hanches et qui est aussi belle à cul découvert qu’elle promettait de l’être enjuponnée. Elle s’amusait à pousser au-dehors la bouchette de son derrière, et se courbant un peu, les cuisses écartées, elle me montra sa fente, large, épanouie, aux lèvres roses, renflées, dans un nid de poils blonds.

— Tends-toi comme je fais, dit-elle.

J’étais confuse et tremblante, mais je lui obéis, m’appuyant sur le banc, je me troussai bien et lui offris mon derrière dans toute son ampleur. Je sentis une bouche mouillée, souple, qui écartait mes chairs, les humectait et dardait dans mon cul une langue rigide. Je me détournai. Valentine était à genoux derrière moi, les lèvres aplaties contre mes fesses. Elle m’élargissait l’ouverture, en mordait la rondelle, en raclait les plis, en suçait les parois où l’avalanche de mes entrailles avait laissé des traces, où mon émotion, mon plaisir, amenaient des profondeurs, des souffles et des fragrances impurs. Je ne me