Page:Rebell - Journal d’une enfant vicieuse, 1979.djvu/237

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
237

contenais plus, je soulevai ma jupe par devant, j’égarai mon doigt.

— Non, non ! fit-elle, pas toi, moi !

Elle m’avait prise à bras-le-corps par derrière et elle me serrait contre elle, elle se laissa tomber tout de son long sur le gazon et m’attira. Mes fesses vinrent heurter son visage. Comme je me redressais, j’aperçus son doigt qui me montrait le bas de son ventre entre ses jambes ouvertes. En même temps, d’une main vigoureuse, elle m’inclinait la tête vers sa toison. Je me courbai timidement d’abord, mais lorsque je sentis son nez dans mon derrière, que sa bouche fouilla ma fente et que sa langue pointilla d’un titillant languotage mon bouton palpitant, j’embrassai ses fesses, je me plongeai dans l’abîme rose de son corps, mes lèvres mordirent et caressèrent les bords gras et rosés, et à mon tour, j’enveloppai sa languette de mes baisers, je la suçotais, je l’aurais mordu dans ma fureur amoureuse, tandis que je l’entendais contre mon cul, s’écrier, aux instants où je m’arrêtais de la baiser et de la sucer.

— Comme tes fesses sont belles, com-