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ne pas vouloir la lâcher. Pensant qu’elle ne pourrait pas s’en débarrasser autrement, elle s’est accroupie de nouveau, ayant toujours le chien à son fessier et elle a continué de se soulager le ventre ; l’animal, non seulement n’a pas perdu une bouchée de l’étron qu’elle a pondu, mais il a évité à Charlotte le soin de se torcher elle-même, et, d’une langue habile, il lui a nettoyé les parois des fesses d’une si aimable façon, que Charlotte a senti du plaisir et que voulant rendre sa jouissance plus complète, elle s’est mise à se chatouiller le devant avec son doigt, tandis que le bon chien lui léchait toujours les parois de ses fesses et sa petite fente, comme s’il eût eu, là aussi, de la pâte qui lui convînt. Enfin, Charlotte s’est relevée, le cul net, et le chien ne trouvant plus rien pour son goûter, a laissé Charlotte, non sans lui avoir léché la figure en remerciement. Mais, comme Charlotte rabaissait ses jupes, sa petite camarade est venue et lui demanda ce qu’elle était à faire. Charlotte le lui a dit et n’a pas manqué de lui parler du chien : « Tiens, a dit Thérèse (c’est ainsi que s’appelait cette fille), je