Page:Recueil des Historiens des Gaules et de la France, tome16.djvu/13

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» manuscriptis eodicitms, six* ea Jffp» Ubrù msmptat congeuimut reeolligemtet d*lat priva ad Regem literat ab Eugatio III Papa, Anastasio IV.Adriano JV, Sugerio, S. Bernardo, Petto Vtnerabili, tomo item XV intertas, quorum argumenta tantkm repraamtamus. Quod dictum d nabis est m admoniticme ad literat Régit Ludovici prtevia, ut adttrueremus compilationem ùlam deberi curit

Hugonis de Campo-florido Suestionentit epitcopi et Francim cancellarii.vel eojubenle curit cujutdam S. Victorit catwnici, nequa–quant ilerandum hic cetuemut. Probable

illud ett, et eu majortm literit illit addit auçloritatem quàd autographa pênes Régit cancéllarium inter Victorinot deversantem residerent. Manutcriptum illum codicem recuperare sollicili fuimut, ut lacunosa qumdam in edilis loca restituer émut, et amanuentium vel typographorum errata emendaremus ; at inanis fuit inquitilio nottra ex duobus enim rnanuacriptis tmrmplia quibtu usw est Andréas Chemins, ne unum quidem invénire in instructitsima imperiali Bibliotheca datum nohis est. Summa itaque laboris noslri fuit ut literas omnes quantum fleri potuit online chronologico, diverso ab eo quem itisli^ierat conipilator, dittribwremus et, destitué manuicriptorum ope, vitiata loca per conjecturas ad marqinem vel in notis appotitas restitueremus.

II. Solrriissimus monumentorum medii avi inrestigator Martenius ptMici juris fecit e.r manusrripto rodice intignit abbatiœ S. Vedasti Atrebatensis volumen,set quod vacant regesttjin, epistolarum Romanontm Ponti/icum, xcriplarum potissittfùm ad Henricum fralrrm liegix Ludovici 17/^ qui Bellovacentem episropatum gessit a6 anno 1149 wqwe ad annum 1102, et factus deinde Revtensis archiepiscofms obiit anno 1175. Vohmten illud M’) epistolis conflatum, 15 ab Smgtnio III ri 2’2 ab Adriano IV scriptas té Henricum Bellovacensem episcopum literat reprœsentflt 497 ad eumdem Remensem archirpiscopum ab Alejcandro III datas sed inscriptas nomine Henrici quatuor tantùm r.rhibct ra collectio unde intelligitur majorent ri ruram fuisse vindt candi ab interitu alwrum epistolas qwim suai. Omîtes pcnè lileftc illce tecundit curis édita à nobis sunt tomo XV, inter epistolas trium illorvm Pontificum. At prostant sire in collectione illa, sive in libris editis, aliœ Ilenrici epistolœ vel aliorum ad eum datas, quas in hune XVI totnum in{ultmus t’la tamen ut epistolarum juin ri nobis edilarutn tomo XV vel inter epistolas Régis Ludovici VII nihil prœter argumenta reprttsenlàremus :atquehoc modo confluta est « nobis séries seu deleclut 200 epitlolqrum ordine chronologico dispositarum. Tantum litrrarum provenlum quibut rescripta sua dédisse censendjis est Ilenricut, wCïwÊQ flW|MB4 le OOOBlOOCBDMSt 00 PCglM fOÊOB h j* fin MM» «i «von* recueiHi d’autre* eoit mm les –aaKrib, Mit «km ht Un» imprimé* auxqudlw bock avons «atraoéU les commaires dw lettroa écrite» au Roi «Btérwwemciit par le» Para* EogèoelII, Anaatue IV, Adrien IV, par l’abbé Sur, S.Berurd, Pierre-le-Véoérable, déjà imprimées dans le ton* XV.

NouftjM répéMnHM pasc« oui a été dit dans notre avertiaaeawot à la léla des lettre» de Louis VII pour prouver que cette oompdatioa a été faite par Hugues de Champ-fleuri eVéque de SoiMons et chancelier de France, ou du moins, sous ses ordres, par qudque chanoine de Saint- Victor, où le chancelier. Bogues faisoit sa résidence. Cekparott assez vraisembttble et doit nous inspirer d’autant plus de confiaoce, que les originaux de ces lettres étoient entre lés mains du chancelier du Roi. Nous eussions désiré retrouver ce précieux manuscrit pour remplir quelques lacunes qu’on remarque dans l’imprimé et faire disparaître quelques fautes de copiste ou d’impression mais nos recherches, à cet égard, ont été vaines des deux copies manuscrites qu’avoit eues André Duchesne, il n pas été posaible d’en retrouver une seule dans la riche Bibliothèque impériale. Il a donc fallu se borner à remettre ces lettres dans un ordre chronologique, différent de celui qu’avoit adopté le compilateur, et suppléer par des conjectures on des notes aux secours que nous eussions pu trouver pour la correction du texte, dans les manuscrite.

II. Dom Martène qui a découvert tant de monumens du moyen âge, a publié, sur un manuscrit de la célèbre abbaye de Saint-Vast d’Arras, un registre de lettres papales presque toutes adressées à Henri frère du Roi Louis- le- Jeune qui fut évéque de Beauvais depuis l’an 1149 jusqu’à 1162 et qui de là étant passé à l’archevêché de Reims, mourut l’an 1175. Ce recueil ne contient pas moins de 534 lettres dont 1 du Pape Eugène III et 22 d’Adrien IV sont adressées à Henri évéque de beauvais ; les autres, au nombre de 497 sont du Pape Alexandre III au même Henri archevêque de Reims mais, parmi un si» grand nombre de lettres, il n’y en a proprement que quatre qui soient de Henri ce qui prouve qu’il étoit plus soigneux de conserver les lettres qui lui étoient adressées que celles qu’il écrivoit lui-même. Ces lettres ont été réimprimées, en grande partie dans notre XV.’ volume, parmi celles de ces trois Papes. Mais on trouve encore, soit dans cette collection, soit dans d’autres livres imprimés des lettres de Henri ou à lui adressées par des personnes autres que les Papes, que nous avons du recueillir dans ce. tome XVI, en observant de ne donner que les sommaires d-» celles qui étoient déjà imprimées dans le tome XV ou parmi les lettres du Roi Louis-le Jeune il est résulté de tout cela une juite de 200 lettres choisies et rangées dans l’ordre^hronologique. On ne. sera pas étonné de cette quantité de lettres, qui, de la part de Henri supposent autant de réponses