Page:Regle de saint Benoit 1689 - Rusand, 1824.djvu/210

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çussent, dans leurs âmes, le coup de la mort, comme les autres le reçurent dans leurs corps. Que ce ne soit donc pas l’avarice qui mette le prix aux choses que l’on vendra ; mais qu’on les donne à meilleur marché que ne font les gens du monde ; afin que Dieu soit glorifié en toutes choses.





De la manière de recevoir les Frères.


Si quelqu’un vient au Monastère dans le dessein de s’y engager, on ne lui en accordera pas facilement l’entrée ; mais on fera ce que dit l’Apôtre : Éprouvez les esprits, pour reconnaître s’ils sont de Dieu (1. Jean 4) : et au cas qu’il persiste en frappant à la porte, et qu’après avoir supporté patiemment pendant qua-