Page:René de Pont-Jest - Le Fire-Fly.djvu/379

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porte Ching-tung, nous prîmes notre course à travers les jardins.

Une demi-douzaine de soldats essayèrent bien de nous suivre, mais, soit que nous fussions meilleurs coureurs que les sujets du Céleste-Empire, soit qu’ils ne se trouvassent pas en troupe assez nombreuse pour venir affronter la colère de nos revolvers que nous ne leurs avions pas cachés, nous n’entendîmes bientôt plus rien derrière nous, et nous pûmes gagner doucement la route qui devait nous conduire au ruisseau où nous attendait notre embarcation.