Page:Renaud - Recueil intime, 1881.djvu/53

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
49
LA PLAINTE DE LA SIRÈNE

Se penche vers l’eau de velours.
Irrésistiblement elle luit et frissonne.
Le navire déjà n’est qu’un désert. Personne !
Tous ont disparu pour toujours.