Page:Restif de la Bretonne - Mes inscripcions, éd. Cottin, 1889.djvu/264

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monstre découvrit ma fille, qui regardait la procession des captifs[1], le second jour.) 19. Mémoire[2], 2de Infidelle ; 20, Mémoire ; déménagement d’Agnès ; 21, vendu 1 Paysane complette ; 23, conclusion avec le libraire Guillot pour les Françaises, à 3734 livres, mais non signée ; 23, presque rien ; à cinq heures, au bout du Pont-rouge, expectando, fait trois fois le tour de l’Ile avec de la Reynière et l’auteur d’Anaximandre[3] ; furor Augœi ; 24, lettre contre Augé (non envoyée), beau soleil ; du bois ; ramonage ; 25 R, Infidelle. A ii volume Françaises ; 26, presque rien fait ; anniversaire de la boue jetée sur la robe blanche ; 27, 2de R Infidelle. Nomen meum inscripserunt hydrofori[4] ; 28, ces Inscripcions ; 29, j’avance ces Inscripcions ; 30, ces Inscripcions ; je surprens les lettres de Blairie à Agnès[5], mais je ne lui en parle pas. Il faut être tolérant, pour les fautes involontaires ; la cruelle passion de l’amour doit trouver les pères indulgens, surtout quand on tient d’eux pour la sensibilité[6].

  1. Trois cent treize captifs français rachetés, dans le royaume d’Alger, par les Mathurins et les religieux de la Mercy. La procession dura trois jours. Elle se rendait, ce jour-là, à Notre-Dame de la Mercy.
  2. Contre Augé.
  3. Anaximandre ou le sacrifice aux Grâces, comédie en un acte, en vers, par F. G. J. S. Andrieux, représentée pour la première fois sur le Théâtre italien, le 20 décembre 1782.
  4. Les porteurs d’eau de l’île Saint-Louis s’étaient amusés à écrire son nom sur le quai. V. le § 553.
  5. V. la note 1 de la page 134.
  6. Restif tranche ici une question qui, si l’on s’en rapporte à ses écrits mêmes, et surtout à la Femme infidèle, paraît assez douteuse : sa femme avait, avant son mariage, des amants auxquels elle promettait des compensations, après. De plus, Agnès Lebègue, dont la conduite était fort légère, ne se gênait point pour déclarer que ses filles n’avaient,