Page:Retif de La Bretonne - L’Anti-Justine, 1798.djvu/118

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attrape, et qui saccade alors en trémoussant du cul, comme si le vit la fourgonnait. Les garçons poursuivaient les garces le vit en main, et dès qu’ils les avaient attrapées, elles se retournaient pour l’enconage, ou ils paraissaient les foutre en levrette, culetant, criotant, jurotant, comme s’ils eussent perforé les cons. La danseuse prenait le vit, au lieu de la main ; l’homme la saisissait par la barbe du con. Ils se faisaient ainsi tourner de temps en temps.

Je bandais roide. Je fis trousser ma fille au-dessus des reins, et je lui dis : « Conque de Vénus, imite tous les mouvements de cul et de con que tu vois… » Elle était excitée ; elle se mit au milieu de la danse, et les exécuta rapidement… Traitdamour, me voyant en rut, et ses camarades bien disposés, leur dit : « Au foutoir !… » Il laissa Rosemauve, sa danseuse, qui en parut toute mortifiée ! « Votre tour va venir, ma belle danseuse. » Il étendit ma fille sur le sopha, dont il lui mit un des oreillers sous le cul ! « Allons, ma tout éveillée, dit-il à Rosemauve, gamahuchez-moi ce conin-là, pendant que je vous le mettrai en levrette, ou vous enculerai, à votre choix. — On ne dépucelle pas une vierge en levrette, répondit-