Page:Retif de La Bretonne - L’Anti-Justine, 1798.djvu/119

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elle vivement ; encule-moi, s’il le faut, tandis que je gamahucherai ce conin d’amour. » Elle gamahucha la belle épouse de M. Vitnègre avec fureur, et Traitdamour perça sans pitié, par des efforts redoublés, le cul virginal de la gamahuchante. La belle Poilsoyeux appela : « Le vit ! Le vit ! »

Je n’y pouvais plus tenir. Je dérangeai la Rosemauve enculée, pour me précipiter dans le con de ma fille haletante de volupté… J’enconnais vigoureusement, lorsque j’eus la délicieuse surprise de me sentir gamahucher le cul, ainsi que la racine des couilles, par la bouche et la langue veloutées de Rosemauve !… Je cocufiai Vitnègre aussi copieusement que si j’avais eu les couilles d’un dieu !… On abluait : « Avec la permission de ma déesse (à Conquette), il faut que je m’acquitte avec Rosemauve ? » Tout le monde s’écria : « Non, non, dimanche ! » Je ne les écoutai pas ; j’enfilai la pucelle, qui criotta, sanglottina, et ils furent témoins de ma nouvelle victoire. Mais Conquette me gronda sérieusement. On alla souper.

La conversation fut sage, rassise. Brideconin et sa femme en étaient édifiés… Mais je ne tarderai pas à les mettre de nos amusements… Au dessert, Traitdamour me demanda une histoire dans le genre de nos amusements.