Page:Retif de La Bretonne - L’Anti-Justine, 1798.djvu/79

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mouiller ni sa chemise ni ses bas ; nous la faisions se tenir troussée au-dessus des reins. Après une scrupuleuse ablution, nous l’avons admirée, car elle était ravissante à cul et à con découverts. Nous l’avons fait marcher ainsi, et nous avons vu la magie de son divin tour de cul. « Moi, disait le grison, en la regardant venir à nous, ce qui me transporte, c’est ce con noir sur une peau de lys, ce poil soyeux et cette raie de corail qui le sépare en deux égales parties. » La belle se retourna et montra d’autres charmes. « Ah ! s’écria Montencon ravi, le beau cul ! Il n’est pas inférieur à l’admirable conin ! » Elle revenait. « Ah ! le beau con ! Il est digne du divin cul ! » Quand ma fille fut auprès de nous, il lui baisa le conin, puis se levant (car nous étions restés à genoux pour mieux voir), il l’emporta sur le foutoir, en me demandant la permission de gamahucher tous ces charmes-là, avant que je les refoutisse… Ah ! comme elle fut gamahuchée !… Il lui chatouilla de sa langue la rosette, à la faire tressaillir. Puis il vint au con. La belle chatouillée se trémoussa, puis émettant, elle hennissait comme une jeune cavale dans la vulve de laquelle on insère pour la première fois l’engin terrible et perforant de l’étalon vigoureux : les fesses potelées de la jument pucelle tremblotent ; elle frémit de tout son corps, et répond, par l’émission de son hippomanès, aux flots de sperme que lui lance le dominateur des haras.

Telle était ma voluptueuse fille, seulement gamahuchée…