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- Ce n’est pas l’histoire. — H. Bauër.
- C’est l’histoire. — V. de Cottens.
(Lire à ce sujet la remarquable étude de M. Frantz Funck-Brentano, dans la Revue Bleue du douze juin, concluant de même sens que M. de Cottens.)
- Prétextat nous est dépeint comme un Saint, indulgent, charitable et doux. — Du Tillet.
- Prétextat nous est dépeint comme un évêque d’humeur acariâtre. — Le Soir.
- Hilpéric est joué au comique, dans le ton où le rôle est écrit. — Duquesnel.
- Hilpéric n’est pas joué dans le ton où le rôle est écrit. — H. Fouquier.
- Ce qui a surtout servi l’auteur, c’est l’interprétation. — J. L. Croze.
- Ce qui dans une certaine mesure a manqué à l’œuvre, c’est l’interprétation. — A. Claveau.
- C’est absurde ! — J. Lemaître.
- C’est admirable ! — F. Sarcey.
- C’est une idée dramatique de premier ordre. — Faguet.
- La représentation de Frédégonde est une erreur. — Le XIXe Siècle.
- La Comédie-Française a bien fait de monter Frédégonde. — Sarcey.
Or, si, comme on le voit, les Maîtres de la critique étaient loin d’être d’accord, il est une partie de l’œuvre cependant sur laquelle, d’après M. Lemaître lui-même, l’unanimité était à peu près complète : le 4e acte.
C’est ce quatrième acte que M. Jules Lemaître a entrepris de réduire en poudre.
Il faut croire qu’il était absolument nécessaire à la gloire de l’éminent académicien, que les comédiens du Théâtre-Français fussent considérés comme incapables de recevoir une pièce dans laquelle il y eût quelque chose à louer, ne fût-ce qu’une scène.