A considérer dans l’ensemble les ouvriers de la métallurgie, il est difficile d’en faire la répartition par âge entre les diverses catégories ou spécialités professionnelles. Pour les mines de houille, il existe, du moins au commencement et vers la fin de la vie de l’ouvrier, — surtout au commencement, avant la vingtième année et le service militaire, — comme de grandes couches de jeunes gens et d’hommes déjà presque vieux occupés aux mêmes besognes : — jeunes et au fond, aides, ravanceurs, hercheurs, rouleurs ; — vieillis et au jour, escailleurs, manœuvres, commissionnaires, etc. Ici, dans la métallurgie, rien de pareil, ou à peu près rien ; d’abord, sauf les « traîneurs de barres au puddlage, » les leveurs de portes » attachés aux différens ateliers, et quelques « traceurs » ou « apprentis ajusteurs, » la
- ↑ Voyez la Revue du 1er décembre 1902.