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Page:Ricard Saint-Hilaire - Le Moine et le Philosophe, 1820, tome 2.djvu/40

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Abenzaïd, touché de ses malheurs, résolut de la rendre à sa patrie, il fit charger de richesses et de provisions un de ses dromadaires, et les lui donna, ainsi que trois esclaves auxquels il prescrivit de la conduire à Joppé, et de s’embarquer avec elle pour l’Europe.