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Page:Ricard Saint-Hilaire - Le Moine et le Philosophe, 1820, tome 2.djvu/63

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nant son lait à Kaboul, en le nourrissant de sa propre vie, car elle s’épuisait pour lui, sa voix tendre et flatteuse lui répétait les contes dont il avait jadis charmé sa fatigue ; et lui faisait espérer, en les lui redisant, des jours aussi purs, des plaisirs aussi doux, que les plaisirs et les jours d’autrefois.