Page:Rictus - Doléances, 1900.djvu/43

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Enfin s’am’nait l’heur’ la pus tendre
Après l’enlèv’ment en carriole,
La minute ousque l’ pus mariolle
Doit pas toujours savoir s’y prendre !

Dans eun’ carré’ sourde et fleurie,
Dans l’ silence et la tapiss’rie,
Près d’un beau plumard à dentelles
Engageant à la bagatelle,

J’prenais « ma femme ! » et j’la serrais
Pour l’Enfin Seuls obligatoire
Comm’ dans l’ chromo excitatoire
Où deux poireaux se guign’nt de près...

Près !... ah ! si près d’ma p’tit’ borgeoise
Que j’crois que j’flaire encor l’odeur
De giroflée ou de framboise
Qu’étaient les bouffé’s d’ sa pudeur.