Page:Rictus - Les Soliloques du Pauvre, 1897.djvu/48

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III

 

Ah ! qu' mes flaquants sont lourds ce soir !
Oh ! un bain d' pieds... eun' pair' de pantoufes ;
(J'ai trop marché dans la mistoufe
Dans la bouillasse et l' désespoir !)

Oh ! n' pus êt' planqué à la dure
Et n' s'rait-ce qu'eun' nuit frimer l' marlou
Et m' les rouler dans d' la guipure
Ousqu'on verrait guincher mes poux !