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Le Vingtième Siècle

ses modestes petites rentes, en sage un peu désillusionné, abritant sa philosophie dans un charmant petit castel du Calvados, où, comme un patriarche respecté, il vit entouré de sa nombreuse famille et de ses nombreux fermiers ou ingénieurs agricoles, regardant avec un sourire bienveillant, mais légèrement ironique, se dérouler l’éternel défilé des erreurs humaines.


l’essai de socialisme de 1922.


Quelques débris de l’ancienne noblesse, personnages insignifiants, mais que M.  Philox Lorris tient à traiter avec bienveillance et qu’il honore assez souvent d’invitations à ses réceptions ou dîners, en raison des souvenirs qu’ils représentent et bien qu’ils n’occupent point des situations très élevées dans le monde nouveau, où ils ne sont généralement que très minces employés de ministères ou très subalternes ingénieurs sans grand avenir.

M. Jean Guilledaine, savant de premier ordre, ingénieur médical de la maison Philox Lorris, principal collaborateur de M. Philox Lorris dans