Page:Rodenbach – La Vocation, 1895.djvu/132

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Le soleil avait disparu, parti pour on ne sait quel hivernage au fond du ciel… Wilhelmine, dans l’ombre venue, ne prenait plus garde de retenir ses larmes. Et Hans priait toujours, bénissant Dieu de l’avoir soutenu en cette épreuve, et du signe providentiel que lui avait été la dernière apparence, dans la brume, du soleil de cette journée — si pâle : une patène, une hostie, une tonsure, comme pour lui rappeler sa vocation.